En ligne : texte de présentation du volume 59, no 3, « L’éthos intime de l’écrivain. Autour du journal et de la correspondance »

Le texte de présentation de notre prochain numéro, intitulé « L’éthos intime de l’écrivain. Autour du journal et de la correspondance », coordonné par Arnaud Bernadet (Université McGill), avec la collaboration de Ian Byrd et d’Élisabeth Chevalier, peut désormais être consulté ici.

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Notion labile, inséparable de l’avènement de l’individu moderne et de son for intérieur, l’intime ne se confond pas pour autant avec la catégorie du privé par opposition au public. En régime littéraire, il s’inscrit certainement dans ce que Philippe Lejeune appelle « l’espace autobiographique », mais il peut prendre des formes aussi diverses que les journaux, carnets, notes ou correspondances. Dans tous les cas, il a pour vocation de dire vrai sur soi-même.

Avec le déploiement de l’intime, on assiste à l’émergence de ce que Michel Foucault reconnaissait dans son séminaire sur L’herméneutique du sujet (1982) sous l’espèce d’une « fonction éthopoiétique », l’écriture devenant « l’opérateur de la transformation de la vérité en êthos ». Plus encore qu’à une fonction, l’écriture de soi renvoie à une poétique définie globalement comme éthique du discours, articulant étroitement le sujet de l’énonciation et le sujet de la conduite (conduite de soi devant les autres). Si la parole « vaut engagement » ou « vaut lien », c’est que cette valeur découle de sa qualité artistique même. En croisant des œuvres de la tradition française et québécoise, de Benjamin Constant à Jeanne Lapointe et Marie Uguay, c’est cette question que les articles réunis dans ce dossier tâchent d’explorer.

En ligne : texte de présentation du volume 59, no 2, « Rêveurs, railleurs. Des symbolistes à Victor Hugo »

Le texte de présentation de notre prochain numéro, intitulé « Rêveurs, railleurs. Des symbolistes à Victor Hugo », coordonné par Adrien Cavallaro (Université Grenoble Alpes) et Patrick Thériault (Université de Toronto), peut désormais être consulté ici.

 

Rajeunie mais aussi lestée d’une conscience historique nouvelle, la raillerie marque en profondeur la culture du XIXe siècle, comme la formidable effusion et l’expansion du « rire provocateur et insolent » libéré par la Révolution (Alain Vaillant, « Satire », Dictionnaire Rimbaud). Tout autant qu’une posture auctoriale, elle décrit une tournure d’esprit souple, dûment conformée aux visées d’une littérature ayant fait de la dénonciation tous azimuts de l’esprit de sérieux l’une de ses principales missions, presque sa vocation. Cette disposition à la blague et à la satire ne laisse pas indemne la poésie lyrique, terre d’élection du « rêve » depuis le romantisme. C’est ce que les articles de ce dossier se proposent d’illustrer, en se concentrant sur une série de poètes, des symbolistes jusqu’à Victor Hugo. Ce parcours à rebours, qui veut lui-même malicieusement railler la convention chronologique, entend prévenir une tentation de lecture téléologique qui concevrait la raillerie poétique dans les termes, inadéquats, d’un progrès. Il passe par Jean Moréas et Paul Adam, Laurent Tailhade, Tristan Corbière, Théodore de Banville et Charles Baudelaire, qui pratiquent et conçoivent la littérature tout à la fois en « rêveurs » et en « railleurs ».

En ligne : compte rendu du volume 58, no 3, « Relire Claude Duchet. Cinquante ans de sociocritique » dans Studi Francesi (no 201 [vol. LXVII, no 3], settembre-dicembre 2023)

Le compte rendu signé par Roberta Sapino dans Studi Francesi (n° 201 [vol. LXVII, n° 3], settembre-dicembre 2023, p. 745-746) de notre vol. 58, no 3, 2022, « Relire Claude Duchet. Cinquante ans de sociocritique », coordonné par Patrick Maurus, Lucie Nizard, Isabelle Tournier et Bernabé Wesley, peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du volume 58, no 3, « Relire Claude Duchet. Cinquante ans de sociocritique », dans la Revue d’histoire littéraire de la France (124e année, no 2, juin 2024)

Le compte rendu signé par Paul Aron dans la Revue d’histoire littéraire de la France (124e année, no 2, juin 2024) de notre vol. 58, no 3, 2022, « Relire Claude Duchet. Cinquante ans de sociocritique », coordonné par Patrick Maurus, Lucie Nizard, Isabelle Tournier et Bernabé Wesley, peut désormais être consulté ici.

En ligne : texte de présentation du volume 59, no 1, « Lectures de l’économie. Comment dire un imaginaire économique ? »

Le texte de présentation de notre prochain numéro, intitulé « Lectures de l’économie. Comment dire un imaginaire économique ? », coordonné par David Bélanger (Université du Québec à Trois-Rivières) et Martine-Emmanuelle Lapointe (Université de Montréal), peut désormais être consulté ici.

 

Dans L’art d’être juste (1995), Martha Nussbaum invitait à ce qu’on confronte l’imagination littéraire à l’économie. Cette invitation semble avoir été entendue. Dans Le capital au XXIe siècle (2013), Thomas Piketty ne cesse de renvoyer à Balzac et à Austen pour illustrer les variables économiques des siècles passés, tandis que des romancières ou des romanciers comme Houellebecq se font économistes (Bernard Maris, Houellebecq économiste, 2014). À partir de la littérature, Joseph Vogl a lu dans la crise financière de 2008 Le spectre du capital (2010), ce qui a engagé un surcroît d’intérêt pour les dettes, soudainement lisibles dans la culture (David Graeber, Dette. 5 000 ans d’histoire, 2011).
La question au cœur de ce numéro s’inscrit donc dans ce chantier : comment parler du lien entre économie et littérature de façon sensible aujourd’hui ? Comment sortir des simples oppositions entre l’économique et le symbolique, que Pierre Bourdieu nommait « l’économie à l’envers », pour décrire la relation entre les deux domaines, ou encore entre l’économisme orthodoxe et la pensée marxiste ? Il existe, peut-on penser, un « imaginaire économique », c’est-à-dire une manière de dire l’économie, d’en nommer le fonctionnement, les rouages, les limites ; la littérature et sa théorie peuvent l’éclairer. Les articles réunis dans ce dossier tâchent donc, depuis le Moyen Âge jusqu’à l’extrême contemporain, de montrer comment la littérature sert cet imaginaire.

En ligne : compte rendu du volume 45, no 3, « Figures de l’héritier dans le roman contemporain », dans la Revue d’histoire littéraire de la France (111e année, no 2, avril 2011)

Le compte rendu signé par Aurélie Adler dans la Revue d’histoire littéraire de la France (111e année, no 2, avril 2011) de notre vol. 45, no 3, 2009, « Figures de l’héritier dans le roman contemporain », coordonné par Martine-Emmanuelle Lapointe (Université de Montréal) et Laurent Demanze (aujourd’hui Université Grenoble Alpes), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du volume 57, no 1, « L’insurrection kabyle de 1871 », dans la Revue d’histoire littéraire de la France (123e année, no 2, juin 2023)

Le compte rendu signé par Franck Laurent dans la Revue d’histoire littéraire de la France (123e année, no 2, juin 2023) de notre vol. 57, no 1, 2021, « L’insurrection kabyle de 1871. Représentations, transmissions, enjeux identitaires en Algérie et en France », coordonné par Isabelle Guillaume (Université de Pau et des Pays de l’Adour), peut désormais être consulté ici.

En ligne : texte de présentation du volume 58, no 3, « Relire Claude Duchet. Cinquante ans de sociocritique »

Le texte de présentation de notre prochain numéro, intitulé « Relire Claude Duchet. Cinquante ans de sociocritique », coordonné par Patrick Maurus (Inalco, Paris), Lucie Nizard, Isabelle Tournier (Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis) et Bernabé Wesley (Université de Montréal) peut désormais être consulté ici.

 

En 1971, Claude Duchet publie le texte fondateur de la sociocritique, « Pour une socio-critique ou variations sur un incipit », dans le premier numéro de la revue Littérature. En 2021, ce texte a eu cinquante ans. À l’occasion de cet anniversaire, les revues Études françaises et Littérature proposent de relire l’œuvre de Claude Duchet dans deux numéros distincts, mais dont la parution simultanée souligne la richesse et la complexité de cette pensée de la socialité de la littérature. Loin de prendre les formes traditionnelles de l’hommage ou du bilan, ce double numéro est d’abord l’occasion d’un dialogue critique qui permet d’évaluer l’apport de la sociocritique des textes à ce que l’on a coutume d’appeler la théorie littéraire, de le questionner et d’en saisir les développements et les voies d’exploration sur un demi-siècle.
Certains des articles réunis dans Études françaises examinent à nouveaux frais telle notion élaborée par Claude Duchet ou la mobilisent dans le cadre d’une lecture de textes littéraires. D’autres proposent de nouveaux sociogrammes, portent la réflexion sociocritique sur la pratique de la traduction ou rendent compte du devenir historique de cette perspective de lecture. Tous donnent la mesure de la richesse théorique de l’herméneutique de la socialité des textes proposée par Claude Duchet. Celle-ci se manifeste également dans les dialogues que la sociocritique a ouverts avec d’autres disciplines comme la psychanalyse ou l’histoire, ainsi qu’avec d’autres courants théoriques tels que la poétique, la sociogénétique, la sociopoétique ou encore la sociologie de la vie et des pratiques littéraires, de la création littéraire et de la réception des œuvres.

En ligne : compte rendu du volume 51, no 3, « La corde bouffonne. De Banville à Apollinaire », dans la Revue d’histoire littéraire de la France (117e année, no 1, mars 2017)

Le compte rendu signé par Laura Hernikat Schaller dans la Revue d’histoire littéraire de la France (117e année, no 1, mars 2017) de notre vol. 51, no 3, 2016, « La corde bouffonne. De Banville à Apollinaire », coordonné par Arnaud Bernadet (Université McGill) et Bertrand Degott (Université de Franche-Comté), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du volume 32, no 2, « Faire catleya au XVIIIe siècle : lieux et objets du roman libertin », dans la Revue d’histoire littéraire de la France (99e année, no 2, mars-avril 1999)

Le compte rendu signé par Colette Cazenobe dans la Revue d’histoire littéraire de la France (99e année, no 2, mars-avril 1999, p. 309-310) de notre vol. 32, no 2, 1996, « Faire catleya au XVIIIe siècle : lieux et objets du roman libertin », coordonné par Jean M. Goulemot (Université de Tours) et Benoît Melançon (Université de Montréal), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du volume 38, no 3, « Le simple, le multiple : la disposition du recueil à la Renaissance », dans The French Review (vol. 78, no 1, October 2004)

Le compte rendu signé par Barbara C. Bowen dans The French Review (vol. 78, no 1, October 2004, p. 145-146) de notre vol. 38, no 3, 2002, « Le simple, le multiple : la disposition du recueil à la Renaissance », coordonné par Jean-Philippe Beaulieu (Université de Montréal), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du volume 33, no 3, « Le Survenant et Bonheur d’occasion : rencontre de deux mondes », dans la Revue d’histoire littéraire de la France (100e année, no 1, janvier-février 2000)

Le compte rendu signé par Pascale Alexandre-Bergues dans la Revue d’histoire littéraire de la France (100e année, no 1, janvier-février 2000, p. 185) de notre vol. 33, no 3, 1997, « Le Survenant et Bonheur d’occasion : rencontre de deux mondes », coordonné par Pierre Nepveu (Université de Montréal) et François Ricard (Université McGill), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du volume 38, no 3, « Le simple, le multiple : la disposition du recueil à la Renaissance », dans la Revue d’histoire littéraire de la France (105e année, no 2, avril-juin 2005)

Le compte rendu signé par Jean Vignes dans la Revue d’histoire littéraire de la France (105e année, no 2, avril-juin 2005, p. 427) de notre vol. 38, no 3, 2002, « Le simple, le multiple : la disposition du recueil à la Renaissance », coordonné par Jean-Philippe Beaulieu (Université de Montréal), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du volume 45, no 3, « Figures de l’héritier dans le roman contemporain », dans The French Review (vol. 85, no 3, February 2012)

Le compte rendu signé par Emile J. Talbot dans The French Review (vol. 85, no 3, February 2012, p. 557-558) de notre vol. 45, no 3, 2009, « Figures de l’héritier dans le roman contemporain », coordonné par Martine-Emmanuelle Lapointe (Université de Montréal) et Laurent Demanze (aujourd’hui Université Grenoble Alpes), peut désormais être consulté ici.

En ligne : texte de présentation du volume 58, no 2, « Le récit de malheur au XIXe siècle »

Le texte de présentation de notre prochain numéro, intitulé « Le récit de malheur au XIXe siècle », coordonné par Sophie Ménard (Université de Montréal), peut désormais être consulté ici.

 

Ce dossier entreprend une réflexion sur les logiques culturelles, sociales, historiques du mauvais sort à l’œuvre dans le récit du XIXe siècle. Série d’embarras qui jettent dans la misère, malchance qui s’acharne, écarts à la coutume qui attisent l’adversité, réactivation des fautes familiales forment, bien souvent, la trame narrative du récit de malheur : celui-ci narre en effet les coups du destin et la dégradation du héros dans une société dont les valeurs politiques, culturelles, familiales sont en transition. S’y développent des cosmologies qui ne comprennent ni le bonheur ni le malheur de la même façon.
C’est pourquoi les articles ici rassemblés examinent les multiples systèmes symboliques d’interprétation et de détection de l’infortune qui structurent le récit moderne, en faisant l’hypothèse que le malheur répétitif y sanctionne les ratés de la coutume et les failles dans le vivre-ensemble. Qu’est-ce qui porte malheur ? Qui est frappé par le sort funeste (et qui ne l’est pas) ? Comment le malheur s’annonce-t-il ? Peut-il être évité ? Est-il intégralement narré ou raconté ? La dynamique narrative repose-t-elle sur l’exploration de parcours de vies déviées et malheureuses ? Ce dossier propose une variété de réponses à ces questions en étudiant, dans certaines œuvres de Balzac, Sand, Mérimée, Stendhal et Zola, les formes plurielles du malheur (maléfice, hasard, vengeance, viol, handicap sexuel et social, mort, vicissitude conjugale, nouage de l’aiguillette) et ses particularités textuelles.

En ligne : compte rendu du volume 33, no 3, « Le Survenant et Bonheur d’occasion : rencontre de deux mondes », dans la revue Voix et images (vol. 23, no 3, printemps 1998)

Le compte rendu signé par André Lamontagne dans la revue Voix et images (vol. 23, no 3, printemps 1998, p. 612-613) de notre vol. 33, no 3, hiver 1997, « Le Survenant et Bonheur d’occasion : rencontre de deux mondes », coordonné par François Ricard (Université McGill) et Pierre Nepveu (Université de Montréal), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du vol. 39, no 3, « Situations du poème en prose au Québec », dans The French Review (vol. 78, no 6, May 2005)

Le compte rendu signé par Emile J. Talbot dans la revue The French Review (vol. 78, no 6, May 2005, p. 1232-1233) de notre vol. 39, no 3, 2003, « Situations du poème en prose au Québec », coordonné par Luc Bonenfant (aujourd’hui Université du Québec à Montréal) et François Dumont (Université Laval), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du vol. 57, no 1, « L’insurrection kabyle de 1871 », dans la revue Studi Francesi (no 196 [vol. LXVI, no 1], gennaio-aprile 2022)

Le compte rendu signé par Roberto Ferraroni dans la revue Studi Francesi (no 196 [vol. LXVI, no 1], gennaio-aprile 2022, p. 209-210) de notre vol. 57, no 1, 2021, « L’insurrection kabyle de 1871. Représentations, transmissions, enjeux identitaires en Algérie et en France », coordonné par Isabelle Guillaume (Université de Pau et des Pays de l’Adour), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du vol. 52, no 2, « Nouvelles maisons d’édition, nouvelles perspectives en littérature québécoise ? », dans The French Review (vol. 92, no 1, October 2018)

Le compte rendu signé par Douglas L. Boudreau dans la revue The French Review (vol. 92, no 1, October 2018, p. 259-260) de notre vol. 52, no 2, 2016, « Nouvelles maisons d’édition, nouvelles perspectives en littérature québécoise ? », coordonné par Andrée Mercier (Université Laval) et Élisabeth Nardout-Lafarge (Université de Montréal), peut désormais être consulté ici.

En ligne : texte de présentation du volume 58, no 1, « Sur les traces du récit sentimental québécois (1920-1965) »

Le texte de présentation de notre prochain numéro, intitulé « Sur les traces du récit sentimental québécois (1920-1965) », coordonné par Marie-Pier Luneau (Université de Sherbrooke) et Jean-Philippe Warren (Université Concordia), peut désormais être consulté ici.

 

Il est admis que le genre sentimental correspond à une forme figée, rigide et pauvre. Pourtant, pour peu que l’on examine attentivement les textes qui correspondent à ce registre, on ne peut qu’être frappé par leur étonnante plasticité. Ce numéro d’Études françaises est consacré au récit sentimental au Québec des années 1920 aux années 1960. Durant cette période parfois décrite comme une période de crise et de « Grande noirceur », le récit sentimental québécois n’a eu de cesse d’offrir des visions renouvelées des rencontres amoureuses et du mariage, tout autant que de l’éducation des filles, du confort matériel et de la sexualité. Il constitue une formidable caisse de résonance pour certains des rêves de la société québécoise de cette époque.

En ligne : comptes rendus du volume 44, no 1, « Engagement, désengagement : tonalités et stratégies », dans la revue Ponti / Ponts (no 9, 2009)

Les deux comptes rendus signés par Liana Nissim dans la revue Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones (no 9, 2009, p. 200 et 271-272) de notre vol. 44, no 1, 2008, « Engagement, désengagement : tonalités et stratégies », coordonné par Danielle Forget (Université d’Ottawa), peuvent désormais être consultés ici et ici respectivement.

En ligne : compte rendu du volume 45, no 3, « Figures de l’héritier dans le roman contemporain », dans la revue Ponti / Ponts (no 10, 2010)

Le compte rendu signé par Andrea Schincariol dans la revue Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones (no 10, 2010, p. 260) de notre vol. 45, no 3, 2009, « Figures de l’héritier dans le roman contemporain », coordonné par Martine-Emmanuelle Lapointe (Université de Montréal) et Laurent Demanze (aujourd’hui Université Grenoble Alpes), peut désormais être consulté ici.

En ligne : compte rendu du volume 44, no 3, « Microrécits médiatiques. Les formes brèves du journal, entre médiations et fiction », dans la revue Ponti / Ponts (no 10, 2010)

Le compte rendu signé par Andrea Schincariol dans la revue Ponti / Ponts. Langues littératures civilisations des pays francophones (no 10, 2010, p. 253) de notre vol. 44, no 3, 2008, « Microrécits médiatiques. Les formes brèves du journal, entre médiations et fiction », coordonné par Marie-Ève Thérenty (Université de Montpellier III) et Guillaume Pinson (Université Laval), peut désormais être consulté ici.